Le collectif 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE affirme son refus de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures de roche-mère et autres hydrocarbures dits non-conventionnels (gaz et pétrole de schiste, huiles lourdes, gaz de réservoir compact, gaz de couche, sables bitumineux ...) et de tous hydrocarbures dont l’extraction nécessite l’utilisation de techniques, quel que soit leur nom, nécessitant de fracturer, stimuler, acidifier ou encore de fissurer la roche et ayant pour conséquence de porter atteinte à son intégrité. Il s’oppose à l’aberration économique, sanitaire, environnementale et climatique aux conséquences désastreuses que constituent ces projets pour les départements impactés. Il promeut une transition énergétique, écologique et solidaire.

Après 7 années de lutte, du rassemblement de Villeneuve de Berg 2011 au rassemblement de Barjac en 2016 jusqu’à la loi Hulot 2017, sont enfin abrogés, annulés ou rejetés tous les permis de recherche de l’Ardèche, du Gard, de la Drôme, de l’Isère, de Savoie, du Vaucluse, du Var, des Bouches du Rhône, de l’hérault. Toutefois, AILLEURS, d’autres sont encore valides et la lutte continue : En savoir plus

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Gaz de schiste : Nicolas Sarkozy est pour

vendredi 26 septembre 2014

GAZ DE SCHISTE : NICOLAS SARKOZY EST POUR
(ÇA N’A PAS TOUJOURS ÉTÉ LE CAS)

Lors de son premier meeting de campagne, Nicolas Sarkozy s’est exprimé en faveur du gaz de schiste et a appelé à refondre le principe de précaution.

C’est pourtant sous son mandat que la loi empechant toute exploration a été votée.

Voilà un thème inattendu pour le début de la campagne des primaires de l’UMP. Nicolas Sarkozy, lors de son premier meeting à Lambersart (Nord) ce jeudi 25 septembre, s’est exprimé en faveur d’une exploration du gaz de schiste en France. "Je ne peux pas accepter que les Etats-Unis soient devenus, du point de vue de l’énergie, indépendants grâce au gaz de schiste et que la France ne puisse pas profiter de cette nouvelle énergie, alors que le chômage ravage tant de nos territoires et tant de nos familles, c’est inacceptable", explique l’ancien Président de la République.

Allant au-delà de la question du gaz de schiste, Nicolas Sarkozy précise sa pensée : "Je souhaite clairement que nous réfléchissions aux conséquences du principe de précaution auquel je préférerai toujours le principe de responsabilité (...) avec la précaution on s’abstient de faire, avec la responsabilité, on assume la conséquence de ses choix et on ne se condamne pas à l’immobilisme".

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