Le collectif 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE affirme son refus de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures de roche-mère et autres hydrocarbures dits non-conventionnels (gaz et pétrole de schiste, huiles lourdes, gaz de réservoir compact, gaz de couche, sables bitumineux ...) et de tous hydrocarbures dont l’extraction nécessite l’utilisation de techniques, quel que soit leur nom, nécessitant de fracturer, stimuler, acidifier ou encore de fissurer la roche et ayant pour conséquence de porter atteinte à son intégrité. Il s’oppose à l’aberration économique, sanitaire, environnementale et climatique aux conséquences désastreuses que constituent ces projets pour les départements impactés. Il promeut une transition énergétique, écologique et solidaire.

Après 7 années de lutte, du rassemblement de Villeneuve de Berg 2011 au rassemblement de Barjac en 2016 jusqu’à la loi Hulot 2017, sont enfin abrogés, annulés ou rejetés tous les permis de recherche de l’Ardèche, du Gard, de la Drôme, de l’Isère, de Savoie, du Vaucluse, du Var, des Bouches du Rhône, de l’hérault. Toutefois, AILLEURS, d’autres sont encore valides et la lutte continue : En savoir plus

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Arnaud Montebourg : « La renaissance d’une compagnie nationale des mines »

vendredi 21 février 2014

ARNAUD MONTEBOURG : « LA RENAISSANCE D’UNE COMPAGNIE NATIONALE DES MINES »

Article exclusif sur Le Parisien.fr

Arnaud Montebourg annonce que jusqu’à 400 M€ vont être investis pour garantir la maîtrise des approvisionnements en métaux et terres rares.
« Un Etat qui ne maîtrise pas son approvisionnement est soumis aux décisions des autres », explique le ministre du Redressement productif pour justifier la création de la Compagnie nationale des mines de France (CMF).

Recréer une compagnie minière nationale peut paraître paradoxal alors qu’après le fer et le charbon la France a fermé en novembre sa dernière mine d’ardoise. Et pourtant, à en croire Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, lancer une telle entreprise publique est plus que jamais vital pour protéger « nos intérêts nationaux ».

Alors que tous les grands pays industrialisés se mènent une concurrence sans merci pour mettre la main sur des gisements de métaux ou de terres rares indispensables aux nouvelles technologies, le ministre assume cet investissement, indispensable selon lui pour ne pas être dépendant de pays comme la Chine.

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