Le collectif 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE affirme son refus de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures de roche-mère et autres hydrocarbures dits non-conventionnels (gaz et pétrole de schiste, huiles lourdes, gaz de réservoir compact, gaz de couche, sables bitumineux ...) et de tous hydrocarbures dont l’extraction nécessite l’utilisation de techniques, quel que soit leur nom, nécessitant de fracturer, stimuler, acidifier ou encore de fissurer la roche et ayant pour conséquence de porter atteinte à son intégrité. Il s’oppose à l’aberration économique, sanitaire, environnementale et climatique aux conséquences désastreuses que constituent ces projets pour les départements impactés. Il promeut une transition énergétique, écologique et solidaire.

Après 7 années de lutte, du rassemblement de Villeneuve de Berg 2011 au rassemblement de Barjac en 2016 jusqu’à la loi Hulot 2017, sont enfin abrogés, annulés ou rejetés tous les permis de recherche de l’Ardèche, du Gard, de la Drôme, de l’Isère, de Savoie, du Vaucluse, du Var, des Bouches du Rhône, de l’hérault. Toutefois, AILLEURS, d’autres sont encore valides et la lutte continue : En savoir plus

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Selon une étude américaine, les risques de la fracturation hydraulique se précisent

mercredi 11 juillet 2012

Selon une étude américaine, les risques de la fracturation hydraulique se précisent

La fracturation hydraulique, une technique qui permet d’exploiter des gisements de gaz de schiste, pose un risque pour les sources d’eau potable, montre une étude américaine.

La fracturation hydraulique, qui permet d’exploiter des gisements de gaz naturel, pourrait poser un risque pour les sources d’eau potable du fait de l’existence de conduits souterrains naturels, selon une étude publiée lundi 9 juillet aux Etats-Unis.

Les défenseurs de cette technique d’exploitation des gaz de schiste affirment qu’elle est sans danger pour les nappes phréatiques car les gisements gaziers se trouvent beaucoup plus bas dans le sol que les réserves en eau.

Mais une étude de la salinité des eaux effectuée en Pennsylvanie, dans l’est des Etats-Unis, par des chercheurs de l’Université Duke conclut qu’il existe un lien entre les dépôts de gaz de schiste situés à 1 600 mètres de profondeur et les nappes phréatiques. "Des conduits naturels permettent au gaz et à la saumure de migrer en direction d’aquifères peu profonds", a indiqué l’université dans un communiqué.

POTENTIELLEMENT DANGEREUX

- Lire l’article sur Radio-Canada.ca

- Lire l’article sur Le Monde.fr

- Lire l’article sur 20 Minutes.fr/planete