AGIR ou SUBIR ?

RAPPORT DE DISCUSSION N° 3
AGIR ou SUBIR ?

* Initiatrice - Initiateur : Yann – Jean-Claude - Jan
* Sujet : AGIR ou SUBIR ?
* Qui a participé : 12 personnes

Discussions - Éléments importants :

 1) Réunion de 3 thèmes :

• Agir ou subir ? (Yann)
• Faire soit même plutôt que se laisser imposer (Jean-Claude)
• Cohésion du collectif après le départ d’Antoine (Jan)

   

  
   2) Recentrage du thème
  Ce que l’on veut, c’est un choix de société plutôt qu’un choix de solutions technologiques (conventionnel ou pas) qui enferme le mouvement dans quelque chose de restrictif.
  Quel est le message à faire passer ?
  Définir une stratégie à long terme plutôt que de réagir au coup par coup.

   

  
   3) Moyens d’actions :

• Politique, juridique et communication.
• Les communiqués de presse ont une portée très limitée (mode réactif dont on veut se défaire).
• Avoir d’autres modes d’action que ceux employés par les lobbies.
• Le premier qui fait passer un message emporte la raison.
• La mobilisation citoyenne est plus importante que les aspects juridiques : conférences dans les villages avec du monde ont été très positives.
• Que faire si la QPC (Question Prioritaire de Constitutionnalité) est validée ?
• Recentrage sur la plateforme de base (abandon des énergies fossiles conventionnelles ou non).
• S’extraire de l’actualité pour se positionner.
• Référendum d’initiative populaire au niveau local, département ou régional (mais pas international !) : la décision de faire un référendum doit passer par un accord entre collectifs départementaux.
• Actions au moment opportun quand les gens sont mobilisés sur le sujet pour avoir un résultat probant.
• Editer un journal qui serait un lien : difficile à mettre en œuvre, investissement humain très important.
• Edition d’un tract informatif sur l’actualité (idem collectif des Vans).
• Support média (blog, web radio …) : amorcé par « Touche Pas à Mon Schiste » ; but : avoir de la réactivité et une présence complémentaire au site internet du collectif.

   

  
   4) Remplacement d’Antoine ou pas ?
  Pour

• Il abattait beaucoup de boulot : bien pratique et sécurisant.
• Lien de cohésion avec les autres collectifs des autres régions.

Contre

• Le bon fonctionnement de la structure horizontale a mieux fonctionné entre le départ de Yann et l’arrivée d’Antoine.
• Le départ n’est pas un problème, mais une possibilité de liberté pour faire autre chose.
• Un coordinateur sur lequel tout le monde se repose a un effet démobilisateur.
• Liberté par rapport aux instances politiques ou publiques (subvention).
• Risque de prise de pouvoir.

Alternative

• Redéfinir le contenu du poste et sa durée (mi-temps ?).
• Un secrétariat.
• Un chargé de communication (en fonction de ce que l’on veut faire).
• Gestion par les commissions.