Le collectif 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE affirme son refus de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures de roche-mère et autres hydrocarbures dits non-conventionnels (gaz et pétrole de schiste, huiles lourdes, gaz de réservoir compact, gaz de couche, sables bitumineux ...) et de tous hydrocarbures dont l’extraction nécessite l’utilisation de techniques, quel que soit leur nom, nécessitant de fracturer, stimuler, acidifier ou encore de fissurer la roche et ayant pour conséquence de porter atteinte à son intégrité. Il s’oppose à l’aberration économique, sanitaire, environnementale et climatique aux conséquences désastreuses que constituent ces projets pour les départements impactés. Il promeut une transition énergétique, écologique et solidaire.

Après 7 années de lutte, du rassemblement de Villeneuve de Berg 2011 au rassemblement de Barjac en 2016 jusqu’à la loi Hulot 2017, sont enfin abrogés, annulés ou rejetés tous les permis de recherche de l’Ardèche, du Gard, de la Drôme, de l’Isère, de Savoie, du Vaucluse, du Var, des Bouches du Rhône, de l’hérault. Toutefois, AILLEURS, d’autres sont encore valides et la lutte continue : En savoir plus

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Gaz naturel : Fuite lors d’une fracturation hydraulique au Colorado

samedi 16 février 2013

Gaz naturel : Fuite lors d’une fracturation hydraulique au Colorado.

Commodesk - La fuite lors d’une d’une fracturation hydraulique pour rechercher du gaz de schiste aux Etats-Unis, dans le nord du Colorado, a été maitrisée le 14 février selon les autorités locales.

Pendant deux jours, suite à un accident sur une valve lors d’une opération de fracturation hydraulique, des litres d’eau verte se sont répandues dans la zone. PDC Energy, la société qui gère le gisement, a creusé des digues autour du gisement et fait venir un camion de pompage.

Elle a promis aux médias locaux des prochaines explications, tout en assurant que l’accident n’était pas lié à la technique de fracturation hydraulique.

Les explorations du gisement ont démarré le 5 février et 18 millions de litres d’eau ont été injectés pour les premières étapes de fracturation. C’est une partie de cette eau qui s’est deversée pendant 30 heures après l’accident.

16/02/2013

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